top of page
Solution Zebra couplée à IDCloud

Le blindage virtuel

Une solution brevetée Nedap

La RFID est une technologie éprouvée permettant d'améliorer la précision des stocks et d'obtenir rapidement des informations sur les articles disponibles dans un magasin.

Mais la RFID peut rencontrer des difficultés pour déterminer avec exactitude le sous-emplacement correct d'un article dans le magasin. En effet, la RFID peut lire à travers les murs et les sols, en particulier les murs fins qui sont souvent utilisés dans les magasins de détail.

Pour pallier à cela, les retailers appliquent un blindage (peinture métallique, papier d'aluminium) pour éviter les "fuites" et garantir des informations fiables sur ce qui est situé sur le lieu de vente ou dans la réserve. 

 

Nedap, lui, a mis au point la technologie "Virtual Shielding", en instance de brevet, qui réduit considérablement les coûts de déploiement et d'investissement de la RFID et garantit des informations précises sur la localisation des articles sans qu'il soit nécessaire d'appliquer une "protection physique".

Comment ça fonctionne ?

Blindage virtuel

Blindage virtuel

L'algorithme d'allocation intelligent du logiciel iD Cloud empêche les "fuites" et détermine de manière fiable l'emplacement d'un article.

Le blindage virtuel élimine les coûts élevés du blindage physique tout en fournissant facilement des données exploitables au personnel du magasin. Les informations sur la sous-localisation sont essentielles pour pouvoir effectuer un réapprovisionnement efficace.

Blindage physique avec aluminium

Blindage physique

Pour bloquer les signaux RFID dans le secteur du retail, on appose généralement du papier d'aluminium ou de la peinture métallique sur les murs, ce qui représente un coût pouvant aller jusqu'à 5000€ par magasin. De plus, il faut veiller à les appliquer avec soin : une infime partie oubliée peut laisser passer les ondes RFID d'une étiquette. Même si elles sont appliquées avec la plus grande précision,les retailers ont souvent des fuites de 15 à 20 %, ce qui rend les données de sous-localisation peu fiables.

bottom of page